Pas de miracles pour la recherche française
Annonces prématurées, communication effrénée plutôt que publication scientifique, retour sur deux essais, Discovery et Corimuno-19, aux résultats attendus mais décevants.
Annonces prématurées, communication effrénée plutôt que publication scientifique, retour sur deux essais, Discovery et Corimuno-19, aux résultats attendus mais décevants.
L’exemple le plus frappant de cette fièvre de recherche autour du Covid ce sont bien sûr les débats autour de l’hydroxychloroquine, qui n’en finit pas de déchirer les chercheurs et les prescripteurs médicaux en France et à l’étranger.
Devant l’ampleur de la crise sanitaire qui sévit et la radicalité des mesures prises par les pouvoirs publics pour l’enrayer, Swaps a voulu faire le point sur la manière dont les professionnels des Caarud et des Csapa affrontaient sur le terrain le défi d’assurer dans des conditions inédites la continuité de la prise en charge des populations d’usagers de drogues les plus vulnérables. Pour ce faire, le dispositif TREND (Tendances récentes et nouvelles drogues) de l’OFDT a été sollicité afin d’assurer un retour d’expériences.
L’essai de phase III ouvert, multicentrique, prospectif, randomisé (ANRS 170-QUATUOR) a démontré à S48, la non-infériorité d’une trithérapie 4/7 jours versus une trithérapie de 7/7 jours chez 636 patients bien contrôlés sous un traitement comprenant un InSTI, un INNTI, ou un IP.
Dans un communiqué daté du 13 novembre, le Conseil national du sida sonne l’alarme : la restriction de l’accès aux soins des demandeurs d’asile et des étrangers en situation irrégulière est une menace pour leur santé, mais aussi pour la santé publique.