Les inhibiteurs de l’intégrase, ou anti-intégrases sont l’une des dernières classes d’antirétroviraux. Ils agissent en empêchant le VIH d’intégrer son message génétique dans celui de la cellule cible.
Ces médicaments ont un profil de résistances différent des autres molécules, ce qui les rend intéressants en cas de multi-résistances face aux autres traitements.
Alors que les cas de variole du singe continuent d’augmenter en France et dans d’autres pays non-endémiques comme le Canada, comment décide-t-on de qui reçoit un vaccin avant ou après l’exposition au risque ? Le débat s’ouvre tout juste.
La variole du singe est une maladie plutôt très rare et peu connue. Dans la plupart des cas de guérison spontanée en 2 à 3 semaines, parfois plus au regard de la contagiosité, et avec une faible mortalité estimée, a fortiori avec la souche d’Afrique de l’Ouest circulant actuellement en Europe.
Un premier cas d’infection par le virus «Monkeypox», responsable de la variole dite “du singe”, a été confirmé le 19 mai 2022 en Ile-de-France, par Santé publique France. Des cas autochtones de cette maladie rare, fort heureusement bénigne dans l’immense majorité des cas, ont été identifiés dans plusieurs pays occidentaux, et en particulier chez plusieurs hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes (HSH).
Jean-Michel Costes, secrétaire général de l’Observatoire des jeux de 2011 à 2020, chercheur associé à la Chaire de recherche sur l’étude des jeux de l’Université Concordia de Montréal, détaille les ressorts du jeu problématique et son évolution avec les jeux en ligne. Ancien directeur de l’OFDT, il est membre depuis 2020 du collège de l’Autorité nationale des jeux.