Les auteurs constatent qu’ils existent deux catégories d’enfants nés séropositifs. Si 64% des enfants n’atteignent pas 1 an parce que la maladie évolue rapidement, ils sont 36% à présenter une forme d’évolution lente de la maladie, portant leur espérance de vie moyenne de 16 ans.
Plusieurs scenarios sont envisagés en fonction de l’accès ou non aux traitements pour la prévention de la transmission materno-foetale. Mais, toujours selon les auteurs, la prise en compte du nombre réel d’enfants et d’adolescents séropositifs se heurte à un déficit de diagnostic et de prise en charge adaptés.
> Lire l’article d’IRINNews.
> Lire le résumé de l’étude dans AIDS (en anglais).