La revue de presse du 12/05/09
France – La Direction générale de la santé réagit à son tour à l’avis rendu le 30 avril dernier par le Conseil national du sida (CNS). Le CNS «invite donc les pouvoirs publics à informer les personnes concernées sur l’intérêt d’un dépistage et d’un traitement précoce, dans le respect de leur autonomie, tout en reconnaissant que le traitement antirétroviral n’assure pas une protection maximale et que cette protection s’entend en complémentarité avec l’usage du préservatif».
HPV – Les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes qui sont infectés par le virus du papillome humain (VPH), également appelé HPV, ont beaucoup plus de risques d’être contaminés par le VIH que ceux qui ne sont pas infectés par le HPV. À lire dans la revue AIDS datée du 22 avril.