Résultat de recherche pour « dmso and ethanol polarity »

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KABP

Les enquêtes KABP (Knowledge, attitudes, beliefs and practices) sur les connaissances, les attitudes, les croyances, et les comportements face au VIH de la population générale adulte vivant en France et en Ile-de-France ont été répétées depuis 1992, environ tous les trois ans, en 1992, 1994, 1998, 2001 et 2004, puis en 2011. Elles fournissent aux pouvoirs publics, à intervalles réguliers, des informations leur permettant d’orienter les politiques de lutte contre le VIH/sida.

Tasp

«Treatement as Prevention», le traitement comme prévention. La base du Tasp a été établie en 2000 avec la publication de l’étude Quinn dans le New England Journal of Medicine, portant sur une cohorte de couples hétérosexuels sérodifférents en Ouganda, qui conclut que «la charge virale est le prédicteur majeur du risque de transmission hétérosexuel du VIH1 et que la transmission est rare chez les personnes chez lesquelles le niveau de charge virale est inférieur à 1 500 copies/mL». Cette observation a été, avec d’autres, traduite en conseil préventif par la Commission suisse du sida, le fameux «Swiss statement». En France en 2010, 86 % des personnes prises en charge ont une CV indétectable, et 94 % une CV de moins de 500 copies. Ce ne sont pas tant les personnes séropositives dépistées et traitées qui transmettent le VIH mais eux et celles qui ignorent leur statut ( entre 30 000 et 50 000 en France).

La revanche des buveurs d’eau

Peut-on défendre l’abstinence alcoolique en France, pays de tradition et de culture(s) ? Cette question mérite un examen approfondi, entre représentations sociales, rites d’initiation, racisme tempéré et autres saveurs passées. Initialement paru sur le site de SOS Addictions, cet article s’y frotte…

Alcooliers contre addictologues, un lobby peut en cacher un autre

De plus en plus de voix dénoncent les collusions entre le «lobby des alcooliers» et un pouvoir politique vulnérable aux pressions économiques. Mais le monde médical est-il lui-même imperméable aux influences également redoutables de l’industrie pharmaceutique? Dans le match qui oppose les défenseurs du raisin qui fermente à ceux des pilules qui soignent nos cerveaux, l’argument du profit est une arme à double tranchant.