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TasP: chez les gays, la charge virale est bien corrèlée entre plasma et rectum 

On a déjà écrit combien les résultats de l’essai de traitement comme prévention HPTN 052, rendus publics à l’IAS de Rome, n’étaient à priori à priori pas transposables aux gays. Néanmoins depuis deux ans s’accumulent des résultats en faveur de son utilisation dans les relations entre hommes. Comme obstacle potentiel  de cette transposition hétéros/gays : le fait que la charge virale VIH pouvait être différente entre rectum et sang, notamment du fait des IST. Début septembre, une information clé est apparue: la corrélation de la charge virale VIH dans le plasma et le rectum est excellente, même en présence d’infections sexuellement transmissibles (IST).

Vivre avec le traitement antirétroviral: une synthèse de Sida Info Service

Dans les appels reçus par Sida Info Service (SIS) en 2010, quatre personnes vivant avec le VIH (PvVIH) sur dix posent des questions sur leurs examens médicaux et leurs traitements. Dans une nouvelle synthèse, Personnes vivant avec le VIH: le vécu des traitements (pdf, 296 Ko), l’observatoire de SIS analyse les différents aspects de ce questionnement et s’intéresse plus précisément aux facteurs pouvant influencer, dans un sens positif ou négatif, l’observance.

Comment l’emprisonnement est devenu une réponse à l’usage de drogues

Si
 la
 loi
 de
 1970
 ne
 contenait
 pas
 en
 elle-même
 de
 volonté
 de
 répondre
 au
 problème
 de
 la
 drogue
 par l’unique
 réponse
 carcérale,
 la
 pratique
 et
 les
 interprétations
 répressives
 de
 circulaires
 prises
 dans
 des moments
 de
 réaction
 publique
 passionnée
 ou
 de
 compétition
 électorale
 ont
 progressivement
 dégagé
 une tendance
 lourde
 à
 emprisonner
 les
 usagers
 de
 drogue.

Quelles priorités pour la RdR en prison?

Didier Jayle, professeur d’addictologie au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers), s’interroge sur les conditions pratiques et les effets pervers possibles sur la santé des détenus d’un éventuel déploiement de programmes d’échanges de seringues en milieu carcéral français, en particulier le risque de voir exploser les injections de buprénorphine.