Médecins du monde

Médecins du monde

Depuis plus de 30 ans Médecins du Monde s’engage à:
• Soigner les populations les plus vulnérables
• Témoigner des entraves constatées quant à l’accès aux soins
• Obtenir des améliorations durables des politiques de santé et des pratiques médicales afin d’obtenir un égal accès aux soins pour tous.
Association de solidarité internationale, MdM agit au-delà du soin. Elle dénonce les atteintes à la dignité et aux droits humains et se bat pour améliorer la situation des populations les plus vulnérables. MdM conduit des programmes d’urgence et de long terme en France comme à l’international. Ses priorités d’action sont l’intervention lors de crises et conflits, la promotion de la santé sexuelle et reproductive, les soins aux migrants et déplacés, et la lutte contre le sida/Réduction des Risques (RdR).
Les programmes internationaux de RdR ont pour principal objectif la réduction des contaminations du vih et des hépatites, ainsi qu’un travail sur la stigmatisation et la criminalisation de ces pratiques, au sein des populations usagères de drogues et des personnes se prostituant.

Actions phares

Septembre 2010 : ouverture du premier programme d’échanges de seringues d’Afrique de l’Est en Tanzanie avec dépistage du VIH et des hépatites et accès aux ARV.
En France, lancement de 2 actions innovantes :
• Juillet 2010 : ERLI (éducation aux risques liés à l’injection), pour lutter contre l’épidémie d’hépatite C chez les UDVI avec séances éducatives théoriques et pratiques.
• Février 2010 : dépistage à l’aide de Test Rapide d’Orientation Diagnostique (TROD) du VIH en Guyane puis en métropole.
62, rue Marcadet / 75018 Paris / France Tél./Fax +33 1 44 92 14 32 infomdm@medecinsdumonde.net

Ses publications (1)

Sofosbuvir, le nouveau médicament de Gilead : Une espoir pour les personnes vivant avec l’hépatite C, mais combien y auront accès?

Au moins 185 millions de personnes dans le monde ont été infectées par le virus de l’hépatite C (VHC), 90% d’entre elles vivent dans les pays à revenu faible et moyen. Mais moins de 2% des personnes éligibles ont accès au traitement de référence actuel combinant Interféron Pégylé et la Ribavirine, le prix de ce traitement pouvant aller jusqu’à 13 000 euros dans certains pays, près de dix fois le PIB par habitant.