La technique utilisée est celle d’une immunothérapie adoptive, pour contrôler la réplication virale pendant la greffe. Les chercheurs ont injecté trois jours après l’intervention des cellules lymphocytes «Natural Killer» (NK), provenant du greffon. Ces cellules avaient auparavant été activées in vitro par de l’interleukine 2 (IL2) et de l’OKT3.
Au cours du mois suivant la transplantation, les taux sériques d’ARN viral étaient plus faibles chez les sujets traités que dans le groupe ayant refusé l’immunothérapie, voire indétectables chez certains des patients.