Il dénonce les situations où la mise en détention puis l’expulsion vers leurs pays d’origine de ces migrants compromet leur accès aux traitements indispensables à leur survie.
Pour illustrer leur propos, les auteurs citent plus particulièrement les cas de la Corée du sud, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, l’Afrique du sud et les Etats-Unis.
Ils fondent leur plaidoyer sur les textes de droit international prohibant l’expulsion dans les cas où elle expose les personnes à la torture ou à un traitement inhumain ou dégradant.
> Lire le rapport : «Returned to risk: Deportation of HIV-Positive Migrants» (en anglais).
> Lire la dépêche de la Pana.