Commencer un traitement anti-rétroviral : Mieux vaut très tôt que tard
Deux études publiées dans le New England Journal of medecine semblent conforter l’intérêt d’initier un traitement tôt -avant 4 mois- après la contamination.
Deux études publiées dans le New England Journal of medecine semblent conforter l’intérêt d’initier un traitement tôt -avant 4 mois- après la contamination.
La question de l’intérêt de la mise sous antirétroviraux dès la primo-infection VIH est un sujet débattu depuis longtemps. Une étude néerlandaise montre qu’un traitement précoce et transitoire de vingt-quatre semaines retarde la reprise des antirétroviraux (ARV) et permet d’obtenir une virémie résiduelle plus faible lors de l’infection chronique.
Le programme et le compte-rendu de la 74e rencontre du Crips, organisée avec VIh.org, sur le thème «La primo-infection VIH : Actualités 2009 et impact sur la prévention», sont disponibles en ligne.