In the hotel Mescalifornia: Foucault, l’Amérique, le LSD et la Vallée de la mort
«And I was thinking to myself, this could be Heaven or this could be Hell» – Eagles
«And I was thinking to myself, this could be Heaven or this could be Hell» – Eagles
S’inspirant d’une vieille convention internationale chapeautée par les États-Unis, la loi française confond la feuille de coca et la cocaïne. Cette confusion a de très fâcheuses conséquences pour les voyageurs provenant de Colombie, particulièrement ciblés et humiliés dans les aéroports.
Le dernier rapport de la mission parlementaire sur le cannabis préconise de mettre fin à la prohibition, considérée comme « un objectif inatteignable », et propose une légalisation régulée.
Le phénomène des mineurs non accompagnés (MNA) en errance, consommateurs de produits psychoactifs, issus principalement du Maroc et d’Algérie, a été initialement repéré à Paris dans le secteur de la Goutte d’Or à partir de l’hiver 2016, puis à Marseille et, enfin, dans de nombreuses métropoles de France. Retour d’expérience d’un professionnel de terrain qui a travaillé auprès de ce public et quelques pistes pour améliorer sa prise en charge.
Le phénomène du crack à Paris ainsi que son traitement médiatique et politique se sont progressivement focalisés sur deux figures essentielles : le cracker et le modou, respectivement l’usager précaire en errance et le dealer de crack ambulant, typiques du nord-est de la capitale. S’ils ne sont pas les seuls concernés par la vente et la consommation de ce dérivé de la cocaïne, ils constituent des acteurs particulièrement visibles et indésirables dans l’espace public où, entre «scènes ouvertes» et «plans éphémères», leur présence ne cesse d’exaspérer les riverains.