Le Fonds mondial dépend à 90% de ses pays donateurs traditionnels (pays du G8, Etats Unis, France, Union Européenne, Japon pour ne citer que les principaux) pour ses financements. A quelques mois de sa 4eme conférence de remobilisation de ses ressources (septembre 2013) il s’agit autour de cette journée/débat sur le rôle des fondations notamment Européennes, en santé mondiale, de voir comment l’aide au développement se décline parmi ces partenaires non gouvernementaux, et comment de nouveaux partenariats peuvent être mis en place.
Quelle est la situation des fondations en Europe et que faudrait-il faire pour parvenir à les mobiliser sur les enjeux de la santé et du développement ?
Investir dans la santé mondiale et le développement sont des engagements politiques que les pays riches ont pris à Abuja en 2001, engagements qui ont conduit à la création du Fonds mondial. Aujourd’hui, un peu plus de dix ans après la création du Fonds, les résultats les progrès en matière de santé publique sont là. Ils doivent être consolidés et poursuivis à moins de trois ans de l’échéance des Objectifs du millénaire pour le développement.
Cette conférence / débat organisée par les Amis du Fonds mondial Europe réunit des fondations européennes et américaines pour un partage d’expériences et de perspectives sur les questions de santé mondiale ainsi que sur la façon dont elles pourraient bâtir des partenariats efficaces avec le Fonds mondial.
Trois thèmes de discussion seront abordés lors de cette conférence :
– Quelle est la contribution des fondations à la santé et au développement ?
– Les fondations européennes peuvent-elles faire plus en santé mondiale et de quelle façon?
– Comment les fondations Européennes peuvent-elles bâtir des partenariats efficaces avec le Fonds mondial?
Mercredi 12 December 2012
De 9.30 à16.00
Palais Brongniart
Place de la bourse
75002 Paris France
> Merci de confirmer votre participation par courriel a l’adresse suivante: foundations@afmeurope.org
> Le site des Amis du Fonds mondial Europe : www.afmeurope.org.