Les tests génotypiques permettent d’identifier les mutations présentes dans les gènes de la transcriptase inverse (TI), de la protéase, de l’intégrase, de la boucle V3 et de la gp411Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH recommandations du groupe d’experts sous la direction du Pr Philippe Morlat et sous l’égide du CNS et de l’ANRS. Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux. Octobre 2016. Consulté le 14 février 2020..
L’algorithme d’interprétation des tests génotypiques de résistance évolue régulièrement. Téléchargez ci-dessous la dernière version de l’algorithme de l’ANRS – AC43 dans laquelle vous pourrez identifier rapidement les dernières mises à jour :

— «Algotrythme d’interprétation de la résistance génotypique», sur le site de Janssen.
La résistance aux antirétroviraux est la conséquence de mutations ou d’insertions présentes sur les gènes du virus de l‘immunodéficience humaine (VIH). La diversité des mutations et de leurs associations nécessite pour leur interprétation de recourir à des algorithmes complexes vis‐à‐vis de chaque antirétroviral. Si les tests génotypiques de résistance se sont peu modifiés sur le plan technique depuis leur recommandation en 1999, les algorithmes servant à leur interprétation ne cessent d‘évoluer et d‘améliorer leur valeur prédictive au regard des nouvelles connaissances2L. Morand-Joubert. Construction et validation des algorithmes de résistance du VIH aux antirétroviraux. John Libbey Eurotext. 2003. Volume 7, numéro 4. 281-8..