La session plénière du jeudi 26 juillet souligne une fois de plus que l’épidémie est loin d’être contenue. Des territoires, des populations entières sont surexposées au VIH, entretenant des micro-épidémies, et le besoin d’engagement est plus fort que jamais.
La session plénière du mardi 24 juillet était consacrée, dans une approche micro-épidémiologique, à partager des chiffres concernant certaines minorités exposées au VIH, comme les usagers de drogues, les travailleuses du sexe et les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), et s’est attelé à décrire l’impact dramatique de la criminalisation de la transmission au Etats-Unis.
La conférence mondiale s’ouvre ce lundi 23 juillet à 19h à Amsterdam, et se tiendra jusqu’à vendredi 27 juillet. Et si 15 000 participantes et participants sont attendus, ce n’est pas encore l’affluence des grands jours. Dans la communauté VIH/sida française en tout cas, beaucoup ont renoncé à se rendre à la conférence, soit pour des raisons pratiques, soit parce qu’ils interrogent la pertinence de ce grand rassemblement.
Les pré-conférences de l’Aids 2018 d’Amsterdam sont une véritable rampe de lancement à la conférence, qui débute aujourd’hui lundi. Le week-end dernier, les premiers activistes et chercheurs-euses réunis aux Pays-Bas ont démarré les travaux qui vont durer jusqu’à vendredi. Ces prémices, sur des sujets très larges, ont déjà été fructueuses et riches en moments forts.
Dans un communiqué de presse à l’Agence de presse médicale le 31 mai 2018, la Société Française de Lutte contre le Sida (SFLS) s’inquiète d’un nouveau cas de refus de remboursement de médicaments anti-VIH par la commission de transparence de la Haute autorité de santé (HAS).
Le 16 juin 2018, élus, autorités de santé, acteurs du champs social et sanitaire et acteurs communautaires vous invitent à se retrouver au Sénat pour échanger afin de pouvoir envisager, de manière concrête, en s’inscrivant dans la stratégie de l’Onusida, la fin de l’épidémie de sida en France.
ViiV Healthcare Exchange est une plateforme en ligne destinée à fournir aux professionnels de santé des informations utiles sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, et sur nos médicaments.
A l’occasion de l’AFRAVIH 2018 à Bordeaux, la psychologue sexologue Coraline Delebarre a présenté les résultats de son enquête SexoFSF sur la sexualité des femmes qui ont des rapports sexuels avec d’autres femmes (FSF), qui vont à l’encontre des préjugés souvent répétés.
Le Dr Cédric Arvieux est à la CROI 2018 et nous reproduisons ici, avec son aimable autorisation, ses chroniques publiées in extenso sur le site du COREVIH Bretagne.
Le Dr Cédric Arvieux est à la CROI 2018 et nous reproduisons ici, avec son aimable autorisation, ses chroniques publiées in extenso sur le site du COREVIH Bretagne.
Le Dr Cédric Arvieux est à la CROI 2018 et nous reproduisons ici, avec son aimable autorisation, ses chroniques publiées in extenso sur le site du COREVIH Bretagne.
Les stocks de l’équivalent tchèque du traitement de référence de la syphilis à la benzathine benzylpénicilline, importés pour pallier une rupture de stocks de la spécialité normalement commercialisée en France, seront bientôt épuisés.
Session plénière, communication de Faustin Kitetele, Kinshasa, RDC – En 2016, seulement 43% des enfants qui en avaient besoin ont eu un accès aux ARV, alors que ce chiffre atteint 54% chez les adultes.
Cette session de communications orales libres abordait les discriminations subies certaines populations, dont les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) africains et les travailleuses et travailleurs du sexe. Malheureusement, les deux communications qui paraissaient les plus intéressantes, sur la stigmatisation interne chez les HSH et le rôle de la police dans la lutte contre le VIH dans les groupes LGBT au Cameroun ont été annulées au dernier moment.
Cette session de communications orales libres traitait des différentes méthodes de dépistages, de l’observance du traitement et de la retention dans le système de soin.
La Pr Françoise Barré-Sinoussi, co-découvreuse du VIH et co-récipiendaire du prix Nobel de médecine en 2008, a été nommée présidente de l’association Sidaction, succédant ainsi à Pierre Bergé, décédé le 8 septembre 2017.
Difficile de se faire une idée entre craintes et espoirs, entre “cure” et traitement à vie, entre stigma et banalisation, entre prévention et traitement, entre PreP et vaccin, entre maladie chronique et crise aiguë, entre STR et dual therapy, entre multithérapie quotidienne et allègement, entre liberté individuelle et notification des partenaires, entre PrEP VIH et IST non VIH… Et de savoir si cette IAS 2017 nous offre quelque chose que l’on peut rapporter dans sa consultation, son laboratoire, son association, son équipe de recherche, ou dans sa vie avec le VIH. Même si l’on sait parfaitement que l’IAS est avant tout une tribune politique
L’introduction de cette session de commnucation orale libre, réalisée par la directrice intérimaire du Fonds Mondial, Marijke Wijnroks, a été un peu chahutée par les activistes, qui souhaitaient interpeller l’assemblée sur le fait que le Fonds Mondial n’intervenait pas ou plus dans les pays à revenus intermédiaires, où les besoins sont également très importants, et notamment au Vénézuela (où la situation semble être critique, les activistes vénézuéliens ayant déjà perturbé la plénière du matin pour dénoncer la « catastrophe sanitaire annoncée » en matière de santé en général et de Sida en particulier dans leur pays).