Avec ou sans protocoles de soins, l’injection parmi les usagers reste un enjeu de santé publique

Le mésusage des traitements de substitution est surtout le fait de jeunes consommateurs en grande précarité, d’usagers qui sont le plus en difficulté avec leur consommation. Aider les médecins à mieux prescrire et développer des actions de réduction des risques pourraient faire baisser l’incidence de ces usages détournés.