Nous avons reçu le document concernant la collecte de données nominatives de santé par un bailleur parisien et dont nous vous avions parlé dans notre SIDA IS DISCO " un bailleur s'égare !" Le bailleur social a revu sa copie. Nous notons que le nouveau document est acceptable dans son fond et sa forme. Ci-dessous le nouveau texte qui rentre en vigueur. "Les informations recueillies lors de la constitution de votre dossier de candidature font l'objet d'un traitement informatique destiné à (...)
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Comme suite à notre dernier SIDA IS DISCO « Un Bailleur s'égare », nous avons souhaité rencontrer le bailleur social en question. C'est à son siège parisien que nous avons été reçus hier. Après une présentation de son parc locatif entièrement réservé (social) et de la transparence de son mode d'attribution nous entrons dans le vif du sujet. C'est en septembre 2016 et pour se mettre en conformité avec la législation sur l'informatique et les libertés qu'un document a été mis en circulation . (voir sida is (...)
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Si Vincent ne remet pas ce document signé autorisant le bailleur à connaître sa situation médicale et à la stocker pendant 5 ans, la sanction est simple : le dossier ne sera pas traité. Vincent a 50 ans et il est séropositif. Il vit dans un 14 m2 qu'il loue 640 Euros par mois à Paris. Il travaille en CDD* et son salaire est de 1200€ et a une reconnaissance de travailleur handicapé(RQTH) par la MDPH*. Nous le suivons depuis 2 ans à notre Permanence Droits Sociaux. Il revient justement nous voir pour (...)
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Source: Radio-CanadaLe nombre de personnes atteintes par le VIH/sida et qui sont sous traitement antirétroviral a doublé en cinq ans pour atteindre 18,2 millions, montre le rapport annuel de l'ONUSIDA.Cela représente la moitié des personnes qui vivent aujourd'hui avec le virus dans le monde.Le document montre que 1,2 million de personnes de plus qu'au début de l'année 2016 ont accès au traitement. Il indique aussi que le nombre de décès liés au syndrome a baissé de 45 %, à 1,1 million, en 2015 par rapport au pic de 2 millions atteint en 2005.
Source: SeronetLe Réseau des établissements de santé pour la prévention des addictions (Respadd) vient de produite un document, très complet et didactique, sur le phénomène chemsex (usage de drogues dans un contexte sexuel). Ce guide de 16 pages se veut un support d'information et de sensibilisation des professionnels de santé susceptibles d'être en contact avec des personnes pratiquant le chemsex ou sa variante : le slam. Coordonné par un docteur en anthropologie sociale, David Michels, également chargé de projets au Respadd, le guide s'est construit en partenariat avec des organisations non gouvernementales de santé et de prévention, mais aussi l'AP-HP ou les Corevih (comités de coordination régionale de lutte contre le VIH) Ile-de-France. Présentation des produits, des usages et des potentielles complications de santé, la brochure détaille et expose sans jugement les différentes données connues aujourd'hui.
Source: Tribune de GenèveSanté: Si le nombre de nouvelles infections d'enfants a diminué de quelque 70%, la baisse s'est tassée chez les adultes.La lutte pour éradiquer l'épidémie du sida d'ici 2030 dans le monde est mise à mal. Les nouvelles infections d'adultes dans plusieurs régions ont augmenté ces cinq dernières années, dit un rapport présenté mardi à Genève.«Nous tirons la sonnette d'alarme», a déclaré devant la presse le directeur général d'ONUSIDA Michel Sidibé en présentant le document, à quelques jours de la Conférence internationale sur le sida. En une quinzaine d'années, le nombre de nouvelles infections d'enfants a diminué de quelque 70% et ce recul se poursuit.En revanche, la baisse s'est tassée chez les adultes. «Cette situation me fait peur», dit M. Sidibé qui demande une «action urgente». Selon les estimations, 1,9 million d'adultes ont été infectés par le sida chaque année sur les cinq dernières années au moins. Ce chiffre est loin des 3 millions d'il y a une quinzaine d'années, mais il stagne.La prévention doit être augmentée de manière urgente auprès de cette catégorie de population, estime ONUSIDA. Dans l'est de l'Europe et en Asie centrale, la hausse annuelle de ces nouveaux cas entre 2010 et 2015 s'est établie à 57%. Après neuf ans de baisse régulière dans les Caraïbes, une augmentation de 9% a été observée. Elle atteint aussi 4% au Proche et Moyen-Orient. Et 2% en Amérique latine.
Source: L'Express.frGenève - L'épidémie de sida, qui régressait régulièrement depuis de nombreuses années dans le monde, risque de rebondir en raison notamment d'une nette augmentation des nouveaux cas en Russie, a averti l'ONU dans un rapport.Selon ce document de 286 pages rendu public mardi par l'Onusida, on évalue à 1,9 million le nombre des adultes qui ont été contaminés par le VIH chaque année entre 2010 et 2015. Malgré un déclin constant de l'épidémie depuis son "pic" atteint en 1997, il y a encore 36,7 millions de personnes dans le monde qui vivent avec le virus, la plupart en Afrique sub-saharienne. En revanche, la contamination chez les enfants a été réduite de plus de 70% depuis 2001 et continue de reculer. L'ONU s'est fixé pour objectif de mettre fin à l'épidémie en 2030. Mais depuis 2010, le mouvement de baisse a atteint un palier et s'est même nettement inversé dans certaines régions. "Cette situation me fait peur et nous devons agir rapidement", a déclaré Michel Sidibé, directeur de l'Onusida, au cours d'une conférence de presse à Genève. "Sinon, l'épidémie pourrait une nouvelle fois causer des pertes humaines et économiques énormes".
Alors que le projet d’accord sur la taxe européenne sur les transactions financières (TTF) a été reporté en septembre, un nouveau document de la Commission européenne a réévalué les revenus qu’elle pourrait rapporter annuellement à 22 milliards d’euros par an. Ces nouveaux … Continuer la lecture →
"Support. Don't punish" est une campagne mondiale de plaidoyer visant à promouvoir de meilleures politiques des drogues qui mettent la priorité sur la santé et les droits humains. Les usager-ère-s de drogues doivent pouvoir être soutenus afin qu'ils puissent mener une vie digne, avec ou sans drogue.Le 26 juin est la Journée mondiale d'action de la campagne "Support. Don't punish". A cette occasion, l'association genevoise Première ligne a le grand plaisir de vous inviter le jeudi 23 juin 2016
à la projection du documentaire «Breaking the taboo»
Fernando Grostein Andrade, Cosmo Feilding-Mellen / Brésil, Angleterre 2012 - vost 58 m.
Ce documentaire porte un regard critique sur la guerre mondiale contre la drogue et dénonce son échec. Raconté par Morgan Freeman, le film revient sur 50 ans de prohibition qui n'ont pas empêché les drogues de devenir la troisième industrie la plus lucrative au monde derrière l'alimentation et le pétrole. Ce document retrace également la façon dont la Commission mondiale pour la politique des drogues a remis en cause ce tabou politique en dénonçant l'un des échecs les plus retentissants de ces 40 dernières années en matière de politique publique.
Projection à 20h30, accueil dès 20h00
au Quai 9 - 6, rue Pépinière - 1201 Genève
Pour connaître la campagne internationale «Support. Don't punish»:http://supportdontpunish.org/fr/http://www.grea.ch/support-dont-punish
Source: La CroixMédecins sans frontières alerte sur les pays d'Afrique occidentale ou centrale, qui ne sont pas considérés comme prioritaires par les bailleurs de fonds internationaux.Un mélange d'impuissance, presque de fatalisme. « Nous manquons parfois de tests de dépistage du VIH à l'hôpital, et quand ça arrive, nous devons renvoyer les gens chez eux, même quand il y a de claires indications qu'ils sont probablement séropositifs », raconte un directeur de soins infirmiers dans un hôpital public de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Ce témoignage est extrait d'un rapport rendu public la semaine dernière par Médecins sans frontières (MSF).36,9 millions de personnes infectéesDans ce document, l'organisation humanitaire dénonce la situation de certains pays africains qui, comme, la RDC, sont les « oubliés » de la planète sida. Les laissés-pour-compte des grands bailleurs de fonds internationaux. « Des millions de personnes en Afrique occidentale et centrale restent en marge de la lutte mondiale contre le VIH », affirme l'organisation humanitaire, en ajoutant que dans ces pays, la population vivant avec le VIH « continue de souffrir inutilement et de mourir en silence ».Fin 2014, on estimait à 36,9 millions le nombre de personnes infectées dans le monde. Parmi elles, 25,8 millions vivaient en Afrique subsaharienne, une vaste région où l'ouverture aux médicaments a été spectaculaire. En 2002, moins de 100 000 personnes y étaient sous traitement antirétroviral. Désormais, c'est le cas de plus de 10 millions de personnes. Mais derrière ces chiffres, on trouve une réalité assez contrastée de l'épidémie.
Source: Seronet"Implementing comprehensive HIV and STI programmes with transgender people" ("Guide pratique pour les interventions collaboratives") est une nouvelle publication réalisée par l'Onusida, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et IRTG, un réseau mondial pour les femmes trans et le VIH. Cette publication présente des mesures concrètes que les responsables de la santé publique, les professionnels de santé et les organisations non gouvernementales peuvent adopter pour mettre en application des programmes sur le VIH et les infections sexuellement transmissibles (IST) avec les personnes trans. Y sont abordés l'émancipation communautaire et les droits humains, la lutte contre la violence, la stigmatisation et la discrimination, la fourniture de services compétents en matière de transsexualité, la prévention, le diagnostic, le traitement et les soins anti-VIH et IST. La publication décrit comment gérer les programmes et étendre les capacités des organisations dirigées par des personnes trans et montre comment les services peuvent être conçus et mis en place de manière à être acceptable et accessible pour les femmes trans. Le document se fonde sur les recommandations figurant dans les Lignes directrices unifiées sur la prévention du VIH, le diagnostic, le traitement et les soins pour les populations clés, publiées en 2014 par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Les femmes transsexuelles restent lourdement touchées par le VIH, avec 49 fois plus de risque d'être infectées par le virus que les autres adultes non trans.
Source: AidsfocusUNAIDS - L'ONUSIDA adopte une nouvelle stratégie pour mettre un terme au sida d'ici 2030. Le conseil de l'ONUSIDA a élu la Suisse à la présidence de cette institution des Nations Unies cruciale pour la lutte contre le sida. Pour le réseau Medicus Mundi Suisse, c'est la conséquence des efforts renforcés de la Suisse en faveur de la santé globale. L'ONUSIDA a en outre adopté une nouvelle stratégie pour mettre fin au sida d'ici 2030.La nouvelle stratégie est le premier document d'une institution des Nations Unies se référant aux nouveaux Objectifs de développement durable (Sustainable Development Goals ou SDG). L'objectif de mettre fin à l'épidémie du sida d'ici 2030 correspond au SDG N°3.3. La communauté internationale s'accorde maintenant à dire que cet objectif est réalistement atteignable.
Carine : juste quelques précisions avant de commencer. Hier, des personnes étaient étonnées de la présence d'acteurs associatifs ou autre, c'est parce que c'est un atelier ouvert, avec des femmes séropositives et des personnes intéressées par le thème de l'atelier. Deuxièmement, je vais vous donner un document, ce n'est pas un bréviaire (Rire), c'est un travail qui a été fait pendant 18 mois par une commission internationale, composée de juristes, d'associations de lutte contre le VIH. Il est intitulé « Le (...)
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2012
Source: AIDSMAPLes plus grands défis à la mise en place de la réduction des risques sont la politique en matière de drogues et les lois relatives aux drogues, a appris la conférence. Dans ce contexte, la séance spéciale de l'assemblée générale
des Nations Unies l'année prochaine (UNGASS) est l'occasion rêvée de changer
les politiques mondiales sur la consommation de drogues.
Les
activistes espèrent que la réduction des risques pourrait jouer un plus grand
rôle dans les approches nationales et internationales sur l'usage des drogues,
de façon à ce que l'accent soit mis sur la santé et le bien-être des
toxicomanes plutôt que sur les punitions et la prohibition.
La
fuite d'un document du Bureau des Nations Unies contre la drogues et le crime (ONUDC) qui soutenait la
dépénalisation de la possession de drogues, a suscité beaucoup d'enthousiasme.
Préparé par le bureau VIH/SIDA de l'organisme, le document souligne les effets
négatifs sur la santé de la criminalisation et explique que la dépénalisation
est conforme aux conventions internationales du contrôle des drogues.
Mais
apparemment, sous la pression des Etats-Unis, l'ONUDC a retiré le document et a
nié qu'il s'agissait d'une position politique officielle. En réponse, les
délégués ont exhorté l'ONUDC à le publier et à faire preuve de leadership à ce
sujet.
La
conférence a également célébré la défaite électorale de Stephen Harper au
Canada, un conservateur qui opposait la réduction des risques et a conduit une
lutte acrimonieuse contre les salles d'injection supervisée. Justin Trudeau, le
nouveau premier ministre s'est exprimé en faveur des centres d'injection
supervisée. Lire la suite anglais sur aidsmap
L'Inpes considère la démarche EIS comme prometteuse pour développer la promotion de la santé en France et lutter contre les inégalités de santé. C'est pourquoi, il a porté le sujet en 2015 en menant plusieurs types d'actions. L'Institut a lancé un appel à projets pour favoriser l'implantation d'études sur la démarche et organisé plusieurs rencontres consacrées au sujet, comme le séminaire du 29 janvier avec l'EHESP et le CNFPT ou celle du 9 juin lors des Journées de la prévention et de la santé publique.
Formulaire -1) toAncr=1 ;if (zeElem.name)if (zeElem.name.substr(0,4)=='curs')var zef=zeElem.name.split('_') ;eval(zef[0] + '.Affecte(' + zef[1] +')') ;return true ;return true ; function checkKey(keyHit,zeCtlKey,zeEvt) var b=true ; var zeElem=(nava) ?zeEvt.target:zeEvt.srcElement ; if(keyHit==13) b=false ; if(document.fML[zeElem.name]) if(typeof document.fML[zeElem.name].name !='undefined') if(document.fML[zeElem.name].type=='textarea') b=true ; else for(var i=0 ;i (document.fML.length-1) ;i++) (...)
Dépistage du VIH Thème : beaucoup d'initiatives pour cette 6ème édition de la journée caribéenne du dépistage en Guyane avec possibilité de se faire dépister dans les CDAG, CIDDIST, par les médecins libéraux, les professionnels médicaux du secteur public... Cayenne, Kourou, Saint-Laurent-du-Maroni, Apadou, Mana... Retrouvez les lieux et horaires de dépistage en téléchargeant le document ci-dessous (en pdf) Journée caribéenne du dépistage 2015 Date : samedi 27 juin 2015 Ecoutez le spot radio en (...)